Catégorie: Actualité Populaire

Paul-Georges Ntep quittera bien le Stade Rennais dans les prochains jours. La confirmation est venue de Christian Gourcuff, en conférence de presse à la veille du match de coupe du SRFC face à Biarritz. Concernant Adama Diakhaby, courtisé par Lille, Christian Gourcuff a fermé la porte à l’attaquant de 20 ans. Le technicien breton a aussi évoqué la rumeur de l’arrivée d’Andy Delort, sans la nier.

C’est la fin du feuilleton pour Paul-Georges Ntep et le Stade Rennais. Le n°7 rennais, arrivé au club en provenance d’Auxerre en 2014, quittera bien la Bretagne lors du mercato hivernal. Vraisemblablement en Bundesliga, à Wolfsburg selon nos informations.

Diakhaby à Lille ? « Un truc sorti de je ne sais où »

C’est l’entraîneur de Rennes Christian Gourcuff qui a confirmé le départ du joueur de 24 ans, tout en coupant court à la rumeur insistante sur une offre lilloise pour le jeune attaquant Adama Diakhaby. 

«â€‰Paul-Georges, ce n’est pas une invention, il y a des contacts très avancés avec un club. Très rapidement, vous aurez l’officialisation de son départ. Je joue cartes sur table sur des choses concrètes. Ce qui est sûr, c’est que Diakhaby sera rennais. C’est un truc sorti de je ne sais où. » 

Delort à Rennes ? « Chaque chose en son temps »

Christian Gourcuff a également évoqué la possible arrivée d’un renfort offensif sur les rives de la Vilaine en raison du départ de Giovanni Sio pour la Coupe d’Afrique des Nations. Le technicien breton a voulu calmer le jeu concernant l’arrivée de l’ex-Caennais Andy Delort.

«â€‰On a l’absence de Giovanni (Sio) pendant un mois, ça change la donne au niveau de l’effectif. Andy Delort, déjà, est sous contrat et je ne sais pas s’il y a la possibilité de le libérer. Chaque chose en son temps. On communique quand les choses sont effectives. Certainement pas les rumeurs, mais encore moins sur les choses qui peuvent se passer. » 

Le Stade Rennais se déplace dans le Pays Basque dimanche 8 janvier (17 h) pour affronter la JA Biarritz en 32es de finale de la Coupe de France.

Le jeune attaquant français Anthony Martial a été encensé par son entraîneur à Manchester United. Le coach portugais José Mourinho a également insisté sur le fait que son joueur devait l’écouter et ne pas écouter son agent.

Des rumeurs font état d’une envie de départ du joueur suite à un manque de temps de jeu. Séville serait la piste privilégiée par l’agent de Martial.

« Martial doit m’écouter! »: José Mourinho, le volubile entraîneur de Manchester United, a rappelé à l’ordre le jeune attaquant français que des rumeurs envoient en prêt au Séville FC, l’enjoignant à suivre ses conseils plutôt que ceux de « son agent ». 

« Anthony doit m’écouter moi, et non son agent », a asséné le Portugais après la victoire de ses joueurs contre Middlesbrough samedi en Premier League (2-1), dans laquelle l’international français s’est distingué en marquant le but de l’égalisation en toute fin de partie. Martial, meilleur buteur des Red Devils la saison passée avec 17 réalisations, n’a marqué samedi que son deuxième but en Championnat de la saison, son cinquième toutes compétitions confondues. 

« Il doit m’écouter »

Une inefficacité qui serait à l’origine du spleen de l’attaquant, que des rumeurs relayées par la presse envoient en prêt au Séville FC. « Tous les jours, je lis dans la presse que Martial va à Séville, qu’il va être prêté, qu’il n’est pas heureux », a déclaré Mourinho. Mais « Martial doit m’écouter à chaque jour d’entraînement, chaque retour que je lui donne », a-t-il rappelé, et faire abstraction de ces bruits qui risquent de s’amplifier avec l’ouverture dimanche du mercato d’hiver. 

Contre Middlesbrough, « Martial a joué, il a créé, il a marqué. Il s’est battu. Il était très positif. Je sais qu’il a beaucoup de talent », a salué le technicien, pas économe en conseils auprès du Français. En novembre, Mourinho avait mis en cause son réalisme devant les cages, le menaçant de le rétrograder dans la hiérarchie des joueurs offensifs si le mal persistait. Une semaine plus tard, « The Special One » reconnaissait que Martial « travaillait plus fort qu’avant ».

Stan Wawrinka et Kei Nishikori ont fait respecter la hiérarchie pour rejoindre les quarts de finale du tournoi ATP de Brisbane, en Australie. Le Suisse a maîtrisé son match face à Victor Troicki. Le Japonais a connu plus de difficultés face au jeune espoir Jared Donaldson.

Stan Wawrinka et Kei Nishikori rejoignent les quarts de finale du 1er tournoi de la saison à Brisbane, mais le Suisse s’est montré nettement plus impressionnant contre Victor Troicki (7-6 (7/5), 6-4) que le Japonais face à Jared Donaldson (4-6, 6-4, 6-3), mercredi lors du 2e tour.

Habitué à commencer plutôt l’année à Chennai, Wawrinka, le N.4 mondial et tenant de l’US Open, qui affrontera le Britannique Kyle Edmund au tour suivant, n’a eu besoin que de 90 minutes pour repousser le Serbe.

«â€‰Je suis assez satisfait par mon niveau en ce début d’année », s’est réjoui ensuite Wawrinka à moins de deux semaines du début de l’Open d’Australie, qu’il a remporté en 2014. «â€‰Ce n’est jamais simple face à Troicki. C’est sympa de découvrir un nouveau tournoi. De nouvelles installations, un nouveau court, une nouvelle ville, ça fait la différence. Surtout à 31 ans, quand vous êtes sur le circuit depuis si longtemps. Cela amène un peu de fraîcheur mentale ».

Nishikori : "Son coup droit était en feu"

Nishikori, un rang derrière le Suisse au classement ATP, a dû s’employer nettement plus après avoir concédé le premier set contre l’espoir américain, modeste 105e mondial, et encore perdu son avance dans une 2e manche finalement remportée.

Stan Wawrinka et Kei Nishikori rejoignent les quarts de finale du 1er tournoi de la saison à Brisbane, mais le Suisse s’est montré nettement plus impressionnant contre Victor Troicki (7-6 (7/5), 6-4) que le Japonais face à Jared Donaldson (4-6, 6-4, 6-3), mercredi lors du 2e tour.

Habitué à commencer plutôt l’année à Chennai, Wawrinka, le N.4 mondial et tenant de l’US Open, qui affrontera le Britannique Kyle Edmund au tour suivant, n’a eu besoin que de 90 minutes pour repousser le Serbe.

«â€‰Je suis assez satisfait par mon niveau en ce début d’année », s’est réjoui ensuite Wawrinka à moins de deux semaines du début de l’Open d’Australie, qu’il a remporté en 2014. «â€‰Ce n’est jamais simple face à Troicki. C’est sympa de découvrir un nouveau tournoi. De nouvelles installations, un nouveau court, une nouvelle ville, ça fait la différence. Surtout à 31 ans, quand vous êtes sur le circuit depuis si longtemps. Cela amène un peu de fraîcheur mentale ».

Nishikori : "Son coup droit était en feu"

Nishikori, un rang derrière le Suisse au classement ATP, a dû s’employer nettement plus après avoir concédé le premier set contre l’espoir américain, modeste 105e mondial, et encore perdu son avance dans une 2e manche finalement remportée.Voir en plein écran

«â€‰En fait, j’étais bien jusqu’à 4-4 et puis j’ai fait un mauvais jeu, a reconnu le Japonais. Et lui s’est mis à bien mieux jouer. Il était plus agressif et son coup droit était en feu. C’était vraiment serré. Même dans le 2e set, qu’il a eu plusieurs occasions de remporter ».

En quarts, Nishikori rencontrera l’Australien Jordan Thompson, qui atteint pour la 1re fois ce niveau après avoir éliminé 4-6, 7-5, 7-5 le vieillissant mais toujours combatif espagnol David Ferrer. 

Le numéro un nord-coréen Kim Jong-Un a donné lundi le premier signe que son pays pourrait participer le mois prochain aux Jeux olympiques d’hiver en Corée du Sud, en dépit des tensions suscitées par ses ambitions nucléaires.

«â€‰J’espère sincèrement que les Jeux olympiques d’hiver de Pyeongchang seront menés avec succès, a dit Kim Jong-Un dans son message de Nouvel An à la nation nord-coréenne. Nous sommes disposés à prendre les mesures nécessaires, y compris à envoyer notre délégation » aux jeux de Pyeongchang, a-t-il poursuivi.

La Corée du Sud accueille les JO d’hiver 2018 à Pyeongchang du 9 au 25 février tandis que les Jeux paralympiques commencent le 9 mars.

Les autorités sud-coréennes et les organisateurs espèrent que le Nord sera présent à ce qu’ils présentent comme les «â€‰Olympiades de la paix ».

Les principaux événements de la compétition se tiendront à tout juste 80 kilomètres de la zone frontalière qui sépare les deux Corées. Les tensions sont à des sommets ces derniers mois à cause de la multiplication des tirs de missiles et des essais nucléaires nord-coréens.

Les JO, a poursuivi le numéro un nord-coréen, seront «â€‰une bonne occasion de témoigner de la grâce du peuple coréen envers le monde. L’année 2018 sera une année significative pour le Nord comme pour le Sud, le Nord célébrant le 70e anniversaire de sa naissance et le Sud accueillant les Jeux olympiques d’hiver ».

Kim Jong-Un a toutefois lancé une mise en garde, prévenant que la situation tendue sur la péninsule pouvait représenter une menace pour l’événement.

«â€‰Les fortes tensions militaires entre le Nord et le Sud doivent s’apaiser et une atmosphère pacifique doit prévaloir. Tant que nous serons dans une situation instable qui n’est ni la guerre ni la paix, le Nord et le Sud ne peuvent garantir le succès de leurs événements programmés, y compris des JO, s’asseoir pour parler ou avancer vers la réunification », a-t-il déclaré.

80 % de chances

La participation ou la non-participation de Pyongyang aux compétitions sportives organisées au Sud a toujours été tributaire de la situation politique et militaire sur la péninsule. La Corée du Nord avait boycotté les jeux d’été de Séoul 1988. Mais elle avait envoyé ses athlètes aux jeux asiatiques de 2014 à Incheon, près de Séoul.

«â€‰Il est tout à fait remarquable que le dirigeant nord-coréen lui-même déclare que le Nord est prêt à participer aux jeux de Pyeongchang, a déclaré à l’AFP Yang Moo-Jin, professeur à l’Université des études nord-coréennes de Séoul. Les chances de participation du Nord aux JO semblent aujourd’hui supérieures à 80 %. »

Aux yeux de Kim Hyun-Wook, de l’Académie diplomatique Korea, le Nord tente de se servir de la compétition sportive pour améliorer les relations avec Séoul dans un contexte de fortes tensions avec les États-Unis.

«â€‰Les États-Unis auront du mal à freiner un dialogue intercoréen focalisé sur Pyeongchang », a-t-il dit.Deux athlètes nord-coréens, le couple de patineurs Ryom Tae-Ok et Kim Ju-Sik, sont qualifiés pour Pyeongchang, mais le Comité olympique nord-coréen a raté la date limite du 30 octobre pour confirmer leur participation auprès de l’Union internationale de patinage. Ces sportifs pourraient néanmoins concourir à l’invitation du Comité international olympique.

Depuis la fin de la guerre de Corée (1950-53), les deux états rivaux sont séparés par la Zone démilitarisée (DMZ), en fait l’une des frontières les plus fortement armées du monde.

Le mois dernier, le président sud-coréen Moon Jae-In avait exprimé l’espoir que les JO puissent faire baisser les tensions. Il a proposé dans ce but un report des manœuvres militaires annuelles des forces de Séoul avec celles des États-Unis, principal allié de la Corée du Sud.

Les exercices Key Resolve et Foal Eagle débutent habituellement fin février ou début mars et provoquent à chaque fois un accès de fièvre, Pyongyang y voyant les préparatifs d’une future invasion de son territoire.

LFB. Landerneau - Lyon Asvel, dimanche (16 h 30). Après avoir joué à la Brest Arena en février avec l’équipe de France, la Brestoise de l’Asvel va disputer son premier match officiel en LFB dans le Finistère.LFB. Landerneau - Lyon Asvel, dimanche (16 h 30). Après avoir joué à la Brest Arena en février avec l’équipe de France, la Brestoise de l’Asvel va disputer son premier match officiel en LFB dans le Finistère.

L’Asvel pourra au moins se dire qu’elle ne jouera pas dans une salle totalement hostile dimanche. S’ils auront du mal à se faire entendre dans la fournaise de la Cimenterie, les proches de Marième Badiane y auront leur pré carré. Presque une évidence pour l’internationale tricolore : «â€‰Il n’y a qu’un match dans le coin donc il ne faut pas le louper (rires) ! » Et parmi les siens, sa sœur cadette Célia, passée par… Landerneau jusqu’en 2017. Pour Marième, le rendez-vous avec les «â€‰ancêtres » du LBB (Pleyber-Christ et le Léon-Trégor 29) a été manqué.

Sous l’œil de Tony Parker

C’est au Brest Basket 29, ou entraînait son père Abdoulaye, puis à Guipavas, alors en Cadettes France, que la Brestoise a commencé à faire parler d’elle. «â€‰À l’époque, je faisais vraiment du basket pour le plaisir, je n’étais pas dans le système performance, on va dire. Je jouais avec les copines. Je ne cherchais pas forcément à rentrer dans un centre de formation. À Guipavas, il y avait un bon projet de Cadettes France qui se montait. » Après l’Insep (2009-2012) et alors qu’elle visait la Ligue 2 pour s’épanouir à 18 ans, elle a pourtant de vagues souvenirs de contacts avec les dirigeants du LTB29, bien que La Roche-Vendée eût sa préférence.

Bien du chemin a été parcouru pour l’intérieure finistérienne d’1,90 m, qui a trouvé avec l’Asvel un club à la mesure de ses ambitions. Sous la houlette de Tony Parker (président de Lyon Basket depuis mars 2017 pour le rattacher à l’Asvel) qui offre les mêmes ambitions pour son équipe féminine que son homologue masculine.

«â€‰Ce serait une super fierté pour Tony d’avoir ses deux sections en Euroleague »

Et à l’entame de sa deuxième saison lyonnaise, Marième Badiane constate une croissance presque quotidienne autour d’elle : «â€‰Plus ça va aller, plus le club va attendre des résultats. Je vois l’évolution dans la structure. Cette année, on a un kiné et un préparateur à temps plein avec nous, ce qui n’est pas du tout le cas de la plupart des clubs de Ligue féminine. On sait aussi que le recrutement des joueuses a augmenté d’un niveau (Clarissa dos Santos, Alysha Clark, Michelle Plouffe). »

À distance, le meneur des Charlotte Hornets ne déroge pas à son omnipotence habituelle et conserve un œil permanent sur ses protégées. Aux côtés de son coéquipier Nicolas Batum, nommé Directeur des Opérations Basket. «â€‰Ils travaillent à deux, ils se concertent, chacun donne son avis, raconte la joueuse de 24 ans. Mais Tony est quand même la pièce principale du projet, on a beaucoup plus affaire à lui. Il faut savoir qu’il est assez proche de nous, il vient régulièrement aux nouvelles, malgré sa saison aux États-Unis. Il reste accessible donc si on a des commentaires à lui faire, il est disponible. C’est vraiment agréable venant d’une personne comme lui qui est sollicitée de partout. »

Jusqu’ici, le plan de route de Parker suit son cours sans accroc : l’Eurocoupe cette année et l’Euroleague espérée l’année prochaine. Vu le début de saison des Lyonnaises en LFB (cinq victoires, dont une contre Bourges, pour une défaite face à Lattes-Montpellier), elles ne devraient pas en être loin au printemps prochain. Avec un budget qui devrait dépasser celui de Bourges à moyen terme (2 millions d’euros l’année dernière contre 3,4 millions pour les Berruyères) : «â€‰L’Asvel féminin n’a que deux ans d’existence donc ce n’est pas huilé sur tous les plans, dépeint Badiane. Mais tout se met en place plutôt rapidement, je trouve. Si on arrive à atteindre le plus haut niveau européen en trois ans, ce sera une belle victoire. »

Également pour leur président qui vient de sécuriser la présence de la section masculine pour les deux prochaines Euroleagues : «â€‰Ce serait une super fierté pour Tony d’avoir ses deux sections en Euroleague. De toute façon, je pense que c’est clairement son but. »

«â€‰À Landerneau, on sait à quoi s’attendre »

L’Asvel ne devra donc pas laisser beaucoup de points en route pour terminer parmi les trois premiers. L’objectif de dimanche est donc clair, presque un impératif : être la première équipe à faire tomber Landerneau à la Cimenterie. La nouvelle salle landernéenne n’est pas une nouveauté pour la Brestoise, qui l’avait découverte avec Mondeville il y a deux ans. «â€‰Mais c’était en amical, le contexte n’était pas le même. » Comme le reste du basket français, l’Asvel a évidemment eu vent des précédents exploits finistériens.

Le LBB en a trop montré pour que Valéry Demory et ses joueuses se laissent piéger. «â€‰C’est clair, confirme Badiane. De toute façon, on est prêtes, on sait à quoi s’attendre. Il y a une très grosse ambiance et de très bons supporters au LBB. On est conscientes qu’elles ont fait tomber Montpellier. On n’y va pas la fleur au fusil, loin de là. Cette année, on sait très bien que le danger vient de partout, il n’y a pas de petite équipe. » Et si la logique devait être respectée, le public landernéen aurait une maigre consolation : pour une fois, la plus Finistérienne des joueuses sur le parquet sera dans le camp d’en face.

Les Houston Rockets ont mis fin à une série de cinq défaites d’affilée en NBA en dominant les Los Angeles Lakers après deux prolongations irrespirables (148-142) tandis que les Celtics de Boston ont célébré dimanche le changement d’année en décrochant contre Brooklyn leur trentième victoire (108-105).

Alors que Houston, toujours deuxième à l’Est malgré son passage à vide (26 v-9 d), a retrouvé des couleurs, la sortie sur blessure à une minute du terme de James Harden (40 pts) vient toutefois assombrir le tableau. Prudent, son entraîneur Mike d’Antoni préférait attendre d’en savoir plus lundi pour se prononcer sur la gravité de cette blessure aux ischio-jambiers.

Une blessure peut-être causée par l’intensité des débats sur le parquet puisque les deux adversaires ont fait trainer le suspens. Mais Chris Paul s’est montré exemplaire dans le final, en inscrivant 15 de ses 28 points après le temps réglementaire alors que les Rockets ont compté jusqu’à 17 points de retard dans une rencontre débridée. Si les uns rient, les autres pleurent, et ce sont désormais les Lakers (11 v-24 d) qui occupent la dernière place à l’Ouest.

Dans l’autre division, Boston est en train de revisiter sa glorieuse jeunesse. Le leader de l’Est a ainsi franchi le cap des 30 victoires (10 défaites) au moment même où il changeait d’année civile. Les Celtics n’avaient plus été aussi rapides pour atteindre ce total depuis 1964-1965, saison lors de laquelle ils avaient remporté le titre...

MVP avant l’heure 

La victoire n’est toutefois pas venue en chantant et Boston a dû se retrousser les manches malgré le onzième match d’affilée à plus de 20 points de Kyrie Irving (28 pts, 8 rebonds).

Brooklyn, douzième à l’Est (13 v-22 d), s’est en effet battu pour combler 14 points de déficit à six minutes de la fin et a échoué d’un rien. À 14 secondes du buzzer, les visiteurs ont eu la balle pour égaliser mais Spencer Dinwiddie a complètement manqué sont tir primé.

« Il faut saluer le talent de l’adversaire qui a très bien joué pendant 48 minutes », a reconnu ensuite Irving, bruyamment proclamé MVP avant l’heure par son public. « On a dû relever le défi sur chaque ballon. »

Un prochain test majeur mercredi contre Cleveland (24 v-12 d, troisième à l’Est) attend désormais Boston, à l’occasion des retrouvailles entre Irving et les Cavaliers. Échangé cet été, Irving devra tenir la dragée haute au quadruple MVP LeBron James en face si les Celtics veulent rivaliser.

Parmi les autres faits notables de la dernière nuit de l’année 2017, les 40 points précieux de Lou Williams pour aider les Clippers à dominer les Charlotte Hornets (106-98).

À Oklahoma City, le rookie Dennis Smith n’a pas fait aussi bien mais il s’est mis en évidence avec 19 points, dont 11 dans les 100 dernières secondes, quatre rebonds et six passes décisives. Dallas repart ainsi victorieux (116-113) malgré le nouveau triple double en face de la star locale Russell Westbrook (38 pts, 15 rebonds, 11 passes décisives).

Ligue AF. Quimper - Saint-Raphaël, ce soir (20 h). En quête de points, les Quimpéroises peuvent s’appuyer sur la saison passée où elles avaient aussi mal démarré avant de décoller.

C’était il y a un an, presque jour pour jour. Le QV29 était dans une situation encore moins enviable qu’aujourd’hui avec un petit point pris lors des cinq premières journées. Jusqu’à un match charnière contre Paris Saint-Cloud, le 19 novembre 2017. La suite, c’est Dominique Duvivier qui la raconte le mieux : «â€‰Contre Paris, on sort le match parfait, tout le monde est à 200 %, nickel dans le plan de jeu et avec de la réussite. Derrière, on se retrouve très vite 7es et on le reste pendant un tiers du championnat. Tu te demandes comment c’est possible alors que tu n’as quasiment rien changé. Simplement, il y a un peu plus de confiance et de réussite. »

Duvivier a sorti la calculette

L’entraîneur quimpérois signerait évidemment pour un tel bégaiement de l’histoire. Pour lui, le club n’a pas dévié de son cap initial vers les playoffs mais a simplement pris du retard. À condition de le rattraper très vite. Duvivier a déjà fait ses petits calculs : «â€‰Il reste 20 matches, il faut prendre 11 victoires. Ce n’est pas complètement aberrant de dire qu’on peut gagner un match sur deux jusqu’à la fin de la phase aller avec Saint-Raphaël, Chamalières, Béziers, Nantes, Mougins et Le Cannet qui arrivent. » Oublié l’abattement de Marcq-en-Barœul (défaite 3-1), les Quimpéroises se sont replongées dans le travail toute la semaine, sur le thème de la remobilisation générale.

«â€‰À la différence des autres semaines où je travaille sur les adversaires à partir du mercredi, on a commencé très tôt à se concentrer sur Saint-Raphaël, détaille Duvivier. Dès lundi, on a tout de suite évacué la frustration du match de Marcq-en-Barœul. Cette défaite nous a quand même bien tapés derrière la tête. Il y a eu beaucoup d’échanges entre les joueuses et entre le staff et les joueuses pour essayer de trouver des solutions collectives et ne pas se replier sur soi-même. » Dans l’œil du cyclone, les trop nombreuses fautes, au service ou attaque, dans des situations évitables.

«â€‰Ce qu’on s’est dit, c’est qu’il y a des situations minimales où il faut arrêter de mettre la balle dans le bas du filet où dehors alors qu’on n’est pas en mesure de faire le point, enchaîne Duvivier. Les prises de risque doivent être contrôlées, ce n’était pas le cas la semaine dernière. » Mi-satisfait mi-agacé, il prend en exemple l’entraînement de vendredi matin, qui témoigne une nouvelle fois du décalage entre ce que ses joueuses produisent durant la semaine et en match : «â€‰En service-réception, tu as un garçon qui sert super fort et trois filles qui arrivent à ramener des ballons très propres sur la passeuse. En moyenne, sur cinq services, Romana (Kriskova) doit faire trois aces, une balle difficilement ramenable et une faute. Alors qu’en match, c’est plutôt quatre fautes », soupire-t-il.

Le déclic attendu doit donc passer par la Halle des Sports où Duvivier souhaitait voir les adversaires se casser les dents, à commencer par Saint-Raphaël. Pas simple face aux 8es, mais clairement plus accessible que Mulhouse ou Cannes : «â€‰Ce n’est pas une des équipes contre qui on doit aller chercher le maximum de points mais contre qui on doit faire une perf’. Or, ce sera plus facile de la faire chez nous que chez elles. »

QUIMPER. Réceptionneuses-attaquantes : 6. Morillon ; 8. Karhu (Finlande) ; 10. Palgutova (Slovaquie) ; 13. Kriskova (Slovaquie) ; 16. Nevot. Libero : 7. Koljonen (Finlande). Centrales : 2. Carter (Grande-Bretagne) ; 12. Diagne (Sénégal) ; 14. Duspivova (République Tchèque). Passeuses : 5. Dioumanera ; 9. Stojiljkovic. Pointue : 11. Fofana.

SAINT-RAPHAËL. Réceptionneuses-attaquantes : 2. Abbott (USA) ; 4. Drobnakova (Slovaquie) ; 10. Mollinger ; 18. Schiro. Libero : 6. Dekeukelaire. Centrales : 5. Rolfzen (USA) ; 7. Milovic (Monténégro) ; 11. Abrhamova (Slovaquie). Passeuses : 3. Viggars (Grande-Bretagne) ; 14. Valentin (Porto Rico). Pointue : 1. Goliat (Belgique).

Et bon anniversaire Zinédine Zidane ! Un an jour pour jour après l’arrivée de l’entraîneur français à sa tête, le Real Madrid a livré un récital aux dépens du Séville FC (3-0), en 8es de finale aller de Coupe du Roi, avec un doublé revanchard de James Rodriguez.

Malgré un onze bis sans le trio offensif «â€‰BBC » (Bale-Benzema-Cristiano Ronaldo), le Real a donné une leçon à l’équipe du bouillant technicien Jorge Sampaoli. Et James (11’, 44’ s.p.) et Raphaël Varane (29’) ont concrétisé l’excellente prestation merengue, l’une des plus abouties depuis la nomination de «â€‰ZZ ».

Rien ne semble pouvoir arrêter le technicien français et ses joueurs, qui ont redémarré 2017 comme ils avaient achevé 2016 : en trombe. Ce succès contre Séville porte à 38 matches consécutifs toutes compétitions confondues la série d’invincibilité du Real de Zidane. Et cette équipe, invaincue depuis avril dernier, peut égaler samedi, en Liga contre Grenade, le record d’Espagne, propriété du FC Barcelone de Luis Enrique (39 rencontres sans défaite en 2015-2016).

Ces dernières heures, Zidane avait pourtant déclenché l’incompréhension en ne retenant pas la star Cristiano Ronaldo pour le choc de mercredi soir entre le tenant de la Ligue des champions et celui de l’Europa League.Laissé au repos, le tout frais quadruple Ballon d’Or n’a pourtant pas manqué à ce Real, intense et spectaculaire. Par son pressing incessant et ses appels dans l’espace, le onze merengue a étouffé Séville.

Et un ballon gratté par Casemiro à l’entrée de la surface a permis à James Rodriguez d’ajuster le gardien d’une frappe placée (11’).

Ovation pour James Rodriguez

Une belle revanche pour le milieu offensif qui, faute de temps de jeu, avait dit mi-décembre envisager de quitter le Real. Le Colombien a soigné sa prestation en marquant ensuite un penalty, obtenu après une poussette peu évidente sur Luka Modric (44’), et il est sorti sous l’ovation du Bernabeu.

Tout le mérite d’avoir relancé James sans psychodrame revient à Zidane, qui déclarait encore mardi qu’il traiterait le Colombien «â€‰comme les autres joueurs », dédramatisant les états d’âme du meneur. L’autre grande vertu de «â€‰Zizou » est d’avoir insufflé un esprit conquérant à l’ensemble de son effectif. Lorsque certains grands noms ne sont pas là, les autres répondent présents.

En défense, Pepe et Sergio Ramos étaient absents ? Le Français Varane a été tranchant et il a marqué un joli but d’une tête décroisée sur un corner de Modric (29’). Et que dire du ciseau délicieux que le même Modric a expédié au ras du poteau (15’)…

À la pause, le score de 3-0 était mérité, même si Séville aurait pu revenir dans le match : Vicente Iborra a inexplicablement raté un ballon face au but vide (34’). Et Vitolo a manqué son face-à-face avec le gardien madrilène Kiko Casilla (41’).

La seconde période a été plus calme et le Real a tranquillement géré son avantage, conscient d’être en bonne position pour atteindre les quarts lors du match retour le jeudi 12 janvier à Séville.

Dans les autres duels du soir, la Real Sociedad a pris l’ascendant sur Villarreal (3-1), tandis que le duel des équipes de 2e division entre Alcorcon et Cordoue a accouché d’un nul (0-0). L’ultime huitième de finale aller opposera jeudi l’Athletic Bilbao au FC Barcelone, double tenant de la Coupe du Roi (20h15).

REAL MADRID - SÉVILLE FC : 3-0 (3-0).

Arbitre : M. Mateu Lahoz

BUTS : James (11’, 44’ sp), Varane (29’).

AVERTISSEMENTS. Real Madrid : Carvajal (41’), Marcelo (42’). Séville : Iborra (24’), Ganso (26’) Mariano (43’).

REAL MADRID : Casilla - Carvajal, Varane, Fernandez, Marcelo (cap) - Modric, Casemiro, Kroos - James (Danilo, 79’), Asensio (Isco, 67’), Morata (Diaz, 83’). Entraîneur : Zinedine Zidane.

SÉVILLE : Rico - Mariano, Mercado, Rami, Escudero - Iborra (Kranevitter, 60’), N’Zonzi - Vitolo, Ganso (Sarabia, 46’), Nasri - Correa (Ben Yedder, 82’). Entraîneur : Jorge Sampaoli.

Ce jeudi soir, Aston Villa a conclu avec Caen la vente de Guilbert, prêté dans la foulée au SMC. Pour le reste, rideau. Au moins une recrue s’est faite attendre toute la journée. Malgré plusieurs négociations, notamment pour Nicolas Benezet, les blocages ont persisté jusqu’à minuit. Dénouement forcément inquiétant d’un mercato d’hiver à l’image de la saison sportive : très compliqué...

La « magie » de la dernière journée du mercato a encore opéré jeudi en France. Caen n’a pas été en reste dans cette foire où le degré d’improvisation semble toujours augmenter sous la pression du chrono. Mais à l’arrivée, il n’est parvenu à rien conclure.

Malherbe aura vécu un mercato d’hiver très difficile, dans la lignée de ce qu’il vit sportivement cette saison. Cela avait commencé par le prêt d’Aly Ndom, dont la mystérieuse blessure au genou contractée le lendemain de son arrivée (!) n’est toujours pas guérie.

Cela s’est terminé sans autre renfort capable d’amener la fameuse "plus-value" à un groupe qui, en l’état, manque pourtant cruellement de quelque chose. L’idée de départ était aussi de tenter de rectifier certains déséquilibres (empilage de joueurs offensifs avec des profils plutôt axiaux) qui apparaissent flagrants après six mois de compétition.

Dans le même temps, tous les concurrents directs au maintien ont obtenu au moins un renfort opérationnel. Même si recruter n’est pas non plus assurance de réussite ou de mieux-être, l’inquiétude ne va pas baisser autour du club, loin de là...

La vente de Frédéric Guilbert à Aston Villa, qui a prêté le latéral droit en Normandie dans la foulée, a été le seul petit coup de tonnerre. Guilbert s’est rendu en Angleterre dans la journée, où il a passé sa visite médicale. L’opération a été finalisée dans la soirée.

Plus de 5 millions d’euros...

Initialement, Caen ne voulait pas discuter d’un départ. Mais l’insistance du joueur, qui avait demandé à quitter le club début janvier, et celle d’Aston Villa ont poussé le club normand à ouvrir des négociations.

Caen a évidemment milité pour obtenir le prêt immédiat de Guilbert jusqu’à la fin de saison, avant son départ définitif l’été prochain vers le club de Championship (D2 anglaise), pour un bail jusqu’en 2023.

Le départ du Valognais semblait de toute façon inéluctable en juin. Ce transfert à effet retardé rapporterait au SMC un peu plus de 5 millions d’euros, sans les bonus. Une somme non négligeable, même si Guilbert jouit plutôt d’une bonne cote sur le marché des latéraux.

Le paiement devrait être échelonné et une partie revenir à Bordeaux, son club précédent. On pensait que cette rentrée d’argent serait susceptible d’aider à débloquer le recrutement du SM Caen. Il n’en a rien été.

Hors de contrôle...

En panne de liquidités jusqu’au dernier jour, après avoir "payé" sa gestion et le fait d’avoir quasiment tout investi l’été dernier, Malherbe a eu toutes les peines du monde à convaincre des joueurs ou des clubs durant ce mois de janvier. Son faible degré d’attractivité sportive ne l’a pas aidé non plus.

La cellule de recrutement, qui comme la direction est forcément au centre de beaucoup d’interrogations, a donné l’impression de jongler avec les propositions d’agents sans parvenir à aboutir sur un dossier, soit par choix, soit par contrainte… comme avec Samuel Grandsir par exemple, qui a préféré signer à Strasbourg.

À défaut, il a fallu relancer des pistes non prioritaires début janvier, comme celle menant à l’attaquant d’Angers Harisson Manzala. Des discussions ont eu lieu, mais elles ne semblaient pas être allées très loin… Ce n’était pas la seule option en négociations. Le dossier Benezet n’était pas refermé, par exemple.

Plusieurs pistes étaient menées de front, pour le milieu récupérateur comme pour l’attaquant. Caen avait des accords avec des joueurs, mais pas avec leurs clubs. Ou devait attendre que lesdits clubs recrutent pour obtenir un bon de sortie de leur cible… Un jeu de chaises musicales classique le dernier jour du mercato, et finalement hors de contrôle.

Le dossier Alfa Semedo était symptomatique, dans un contexte de concurrence exacerbée. Quasi OK lundi soir, quasi bouché mardi, relancé mercredi, terminé jeudi…

Caen avait l’accord de Semedo, mais plus de nouvelles de Benfica. Après une surenchère de l’Udinese, le milieu portugais devait être prêté à l’Espanyol de Barcelone, avec une option d’achat de 6 millions d’€. Dans cette cour-là comme dans pas mal d’autres, Caen n’est pas invité cette saison.

**Ligue 1. Mathieu Valbuena au cœur de l’Olympico 23/01/2017**

Marseille - Dans un affrontement épique de la Ligue 1, l’Olympique de Marseille s’est mesuré à l’Olympique Lyonnais lors de l’indémodable "Olympico". Mais c’est Mathieu Valbuena, l’ancien joueur de l’OM, qui a volé la vedette lors de cette rencontre émouvante.

Le 23 janvier 2017, les supporters des deux équipes se sont rassemblés au Stade Vélodrome, vibrant d’excitation pour ce choc incontournable du football français. Les attentes étaient élevées, car les deux clubs cherchaient à se hisser en haut du classement de la Ligue 1.

Mathieu Valbuena, qui avait rejoint l’Olympique Lyonnais après un passage réussi à l’OM, est revenu dans son ancien stade sous le maillot de l’équipe rivale. Le milieu de terrain talentueux et déterminé était prêt à affronter ses anciens coéquipiers et à montrer son meilleur jeu.

Le match a commencé sous une ambiance électrique, avec des échanges de tirs et des passes rapides des deux côtés. Valbuena a été au cœur de l’action, créant des opportunités pour l’OL tout en étant surveillé de près par la défense tenace de l’OM.

Alors que le temps passait, le jeu devenait de plus en plus intense. Finalement, à la 74e minute, Valbuena a marqué un but éblouissant, déclenchant l’extase chez les supporters de l’OL et le silence chez les fans de l’OM. Cependant, respectueux de son ancien club, il a choisi de ne pas célébrer son but, reconnaissant l’émotion de la situation.

Le match s’est terminé par la victoire de l’Olympique Lyonnais avec un score de 2-1, mais l’esprit sportif a prévalu, malgré la rivalité passionnée entre les deux équipes. Mathieu Valbuena a été salué pour son incroyable performance, tandis que les supporters de l’OM lui ont offert une ovation émouvante pour son retour à Marseille.

L’Olympico du 23 janvier 2017 restera gravé dans les mémoires des fans de football, en particulier pour l’impact de Mathieu Valbuena sur le résultat du match. Les supporters attendent avec impatience les prochains affrontements entre ces deux géants de la Ligue 1, sachant que chaque match sera une bataille acharnée pour la victoire.

C’est le premier couac de la présidence de Bernard Laporte. Les 36 internationales françaises retenues pour le stage en Corse visant à préparer le Tournoi des Six Nations et la Coupe du monde se liguent pour réclamer le retour de leur entraîneur Jean-Michel Gonzalez, débarqué fin décembre sans ménagement, malgré de bons résultats sportifs.

Gonzalez estime payer ses liens d’amitié et de proximité avec Pierre Camou, ancien président de la FFR, originaire comme lui du Pays Basque. Il dénonce une opération de purge que conteste, bien sûr, Serge Simon le nouveau manager des équipes de France.

«â€‰Retrouver notre staff »

Toujours est-il que cette décision ne passe pas auprès des Bleues du XV de France. Selon France Bleu, les Bleues veulent discuter et comprendre. «â€‰Ã‡a fait deux ans et demi qu’on prépare la coupe et on nous enlève nos dirigeants à 6 mois de l’échéance qui auraient pu nous amener à quelque chose de grand. On a l’impression que c’est la décision d’une seule personne. On a songé à ne pas se rendre au stage en Corse mais ça sera une décision collective, on va surtout se rassembler, discuter entre nous, tout le monde doit donner son avis ; en tout cas on va demander à retrouver notre staff. Parce qu’on révolutionnera pas en six mois, 2 ans et de mi de préparation », déclarent Céline Ferrer et Amaia Gonzalez, les deux Bayonnaises du XV de France.

Les joueuses veulent s’expliquer avec Bernard Laporte qu’elles estiment être derrière cette décision. Elles ont demandé à le rencontrer avant de s’envoler en Corse pour leur stage de préparation au Tournoi des Six nations qui démarre en février en Irlande.

Les joueuses ne s’en laisseront pas compter, ce n’est pas le genre de la maison. Elles ont un bon argument, elles sont toutes issues de ce rugby amateur que le nouveau président de la Fédération française a dit vouloir défendre et promouvoir. De la parole aux actes.

Team Sky qui se retirera du cyclisme à la fin de l’année 2019, a dévoilé ses plans pour sa dernière saison. Chris Froome et Geraint Thomas vont se concentrer sur le Tour de France, quant à Egan Bernal il sera leader pour la première fois sur le Giro. Le vainqueur gallois du Tour 2018 a aussi coché le championnat du monde dans le Yorkshire.

L’année 2019 démarre à peine que Sky lance les grandes manœuvres de sa dernière saison sur le World Tour. Alors que des doutes planaient quant à une participation de Geraint Thomas au Giro, l’équipe de Dave Brailsford annonce que le vainqueur du Tour de France 2018 se concentrera sur la Grande Boucle.

Un 5e Tour dans le viseur

Même chose pour Chris Froome qui sera au départ de Bruxelles le 6 juillet prochain avec l’ambition de décrocher une 5e Tour et d’ainsi égaler le record des Anquetil, Merckx, Hinault et Indurain. «â€‰Ã‡a a été une décision difficile de savoir exactement quoi faire en 2019, et surtout sur quel grand tour s’aligner surtout après avoir remporté le Giro l’an passé et d’y avoir passé un moment extraordinaire avec l’équipe. Mais pour cette année,, mon objectif numéro un, c’est le Tour de France », martèle Christopher Froome.

Les choses sont claires. Une question demeure. Y aura-t-il un leader désigné ou bien la course se chargera de le faire comme en 2018? 

Le chrono du championnat du monde

Sur le Giro, ce sera donc le jeune Colombien Egan Bernal qui sera le patron pour l’équipe Sky. Le jeune prodige a l’occasion de confirmer tout le bien que l’on pense de lui ; Il devra tout de même faire avec une rude concurrence, notamment celle de Tom Dumoulin qui a fait du Giro son objectif prioritaire.

Enfin, Geraint Thomas a annoncé qu’il visait le maillot arc-en-ciel lors du chrono des championnats du monde qui se dérouleront dans le Yorkshire. «â€‰Je pense que le contre-la-montre sera ma meilleure chance de remporter un titre. C’est un bon objectif pour la fin de l’année. Je veux surtout y être car le soutien populaire au Royaume-Uni et en particulier au Yorkshire est tout simplement incroyable », déclare le vainqueur du Tour 2018.

La vente de produits dérivés estampillés du Rugby-club de Vannes est en plein essor. Parmi eux, la doudoune, qui reste le must.

Aujourd’hui, le «â€‰merchandising » se définit comme étant la vente de produits dérivés, le plus souvent à l’effigie d’un club de sport ou d’un sportif. «â€‰Les multinationales du sport » que sont les grands clubs anglais, espagnols de foot, ou encore le Paris SG, prennent en compte dans leur budget prévisionnel les bénéfices générés par la vente de maillots lors du recrutement d’une star.

Le Rugby-club vannetais ne joue pas dans cette catégorie. Mais la croissance des ventes est en plein développement. Les performances de l’équipe et l’engouement autour de celle-ci sont les vecteurs majeurs de cette croissance.

La dynamique de la Pro D2

Cédric Jeauneau, en charge du «â€‰merch » explique : «â€‰Historiquement, la boutique de vente d’écharpes et maillots existe depuis très longtemps au RCV. La relance est intervenue il y a une dizaine d’années à l’initiative de Marie-France Bouché. La Pro D2 a amplifié nos ventes. On peut affirmer qu’on a doublé, en un an, notre chiffre d’affaires. C’est la deuxième année que l’on dégage un bénéfice. »

Quatre points de vente

Quatre points de vente ont été mis en place. Une boutique est ouverte au stade Jo-Courtel le mercredi, deux boutiques (entrée école de musique et sous la tribune principale) reçoivent les clients à La Rabine les soirs de matchs. Une autre boutique est ouverte toute la semaine à l’Intermarché de Séné. Il y a aussi celle en ligne lancée au milieu de la deuxième année de Pro D2.

Du 6 ans au XXXXL

Cédric Jeauneau anime une équipe de bénévoles très dynamiques et impliqués pour tenir les trois premières boutiques : «â€‰On a une soixantaine de produits référencés. Ça va des maillots aux porte-clés en passant par la doudoune. Les tailles s’étalent du 6 ans au XXXXL. La doudoune est le produit phare. À Londres, le week-end dernier, j’ai croisé une personne portant la doudoune du club. »

Le maillot, le sweat et le ballon font partie des autres grosses ventes.

Parmi les perspectives de développement, le responsable avance : «â€‰On est au tout début du merchandising. On n’a pas les outils pour floquer les maillots avec le nom d’un joueur. C’est une évolution vers laquelle on espère tendre. »

La montée en Pro D2 a dynamisé les boutiques «â€‰On a retravaillé une gamme de produits plus élaborée, on a revu nos relations avec les fournisseurs locaux ou étrangers (Grande-Bretagne, Suède…). »

Ce vendredi 1er mars 2019, match RCV-Massy, à 20 h, au stade de La Rabine, à Vannes (Morbihan).

Le breakdance aux Jeux ? Ce n’est pas la seule idée révolutionnaire lancée, jeudi, par les organisateurs. Un marathon ouvert à tous en est une autre.

Paris. De notre envoyé spécial

- «â€‰Pensez-vous qu’il doit se retourner dans sa tombe ? »

- «â€‰Qui ça ? »

- «â€‰Le baron Pierre de Coubertin… »

- «â€‰Ah ! En tout cas, je suis sûr que l’idée l’aurait séduit. Il aurait dit : ils ont osé ! »

Petit dialogue impromptu avec Denis Masseglia le président du comité olympique français (CNOSF). Oui, ils ont osé ! Après des mois d’échanges, hier à l’Arena de Paris La Défense, le Comité d’organisation des JO 2024 a dévoilé sa liste de quatre sports additionnels que le CIO devra valider (voir calendrier).

Sous la Grande Arche a été jetée une passerelle inédite vers d’autres territoires. «â€‰On veut faire bouger les lignes », lance Tony Estanguet, le président du Cojo. Quitte à irriter ou décontenancer, le choix du breakdance au pays du french-cancan ayant tout du grand écart. Au fait, est-ce un sport ?

19 candidats, 4 élus

Estanguet n’a pu couper à la question récurrente : « Dans notre désir de connecter le sport à la culture et à l’art, d’être créatifs, de toucher de nouveaux publics, le breakdance coche beaucoup de critères. »

Pour Mounir Biba, aucun doute : « Depuis sa création, le breakdance suit une logique sportive en mariant les dimensions athlétique et artistique. » Un avis subjectif, vu que l’intéressé, Angevin d’origine, a été champion du monde. Il était aussi juge l’an passé, lorsque le breakdance a été testé aux JO de la Jeunesse à Buenos-Aires.

L’essentiel étant de participer, des visages se sont éclairés à l’Arena, d’autres refermés à double tour. Le surf, le skate-board et l’escalade, qui fêteront leur baptême aux JO 2020, sortent confortés. Pas le karaté, qui n’aura droit qu’à un tour de scène à Tokyo avant d’être rejeté à l’ombre. « Pour avoir fait du sport de haut niveau, je sais les enjeux, avoue Estanguet, l’ex-triple champion olympique de canoë. Mais nous avons reçu 19 dossiers costauds de Fédérations internationales. »

Choisir, c’est renoncer. Le squash peut continuer à tambouriner à la porte. Le ski nautique aussi. Les disciplines moins « évidentes » comme le billard ou le bowling peuvent se mettre en boule. Et que dire de la pétanque, qui imaginait des Jeux attachés au patrimoine national ? Une bourrasque de « jeunisme » a emporté toutes ces espérances. « Si on veut que les jeunes se mettent au sport, il faut leur offrir des choses inspirantes et qui soient en connexion avec eux », proclame Estanguet. Vivre avec son époque pour réussir des Jeux jeunes et « durables ».

Dans cette optique, seront mis en place des Jeux digitaux, que ce soit pour les épreuves de voile ou de cyclisme avec des applis connectées et la bénédiction des Fédérations internationales. Paris 2024 entend même surpasser le monde virtuel. « On proposera aux gens de courir le marathon. Pas en même temps que les athlètes, bien sûr, mais le même jour et sur le même parcours. On peut imaginer la même chose en cyclisme avec une cyclosportive... » Inutile de surfer sur la toile : les bulletins d’inscription ne sont pas encore édités...

Dans l’univers dynamique du marketing digital, des techniques secrètes émergent pour attirer des milliers de clients vers les entreprises. Ces méthodes innovantes ont déjà commencé à transformer le paysage commercial, offrant aux entreprises de nouvelles opportunités de croissance et de succès.

Le premier élément clé à mentionner est l’essor du marketing d’influence. Les entreprises ont réalisé le pouvoir des influenceurs sur les réseaux sociaux pour atteindre leur public cible de manière plus authentique. En s’associant avec des personnalités influentes, les marques peuvent désormais toucher des millions de personnes et renforcer leur crédibilité sur le marché.

En parlant de réseaux sociaux, les stories éphémères ont également gagné en popularité. Ces courtes vidéos ou images partagées sur les plateformes sociales comme Instagram et Facebook permettent aux entreprises de présenter des offres exclusives et de susciter l’engagement des clients sur une base temporelle limitée. Cette tactique crée un sentiment d’urgence et encourage les clients à agir rapidement.

Une autre méthode en vogue est le marketing par SMS. Avec une adoption croissante des téléphones mobiles, les entreprises envoient maintenant des offres promotionnelles et des rappels à leurs clients directement sur leur téléphone portable. Cette approche personnalisée renforce le lien avec les clients et augmente les taux de conversion.

Le contenu vidéo est un autre atout majeur du marketing digital. Les consommateurs préfèrent désormais regarder des vidéos pour consommer du contenu plutôt que de lire de longs articles. Les entreprises qui intègrent des vidéos créatives et informatives dans leur stratégie de marketing en ligne voient une augmentation significative de leur visibilité et de leur engagement.

Enfin, les chatbots intelligents ont révolutionné la communication client. Ces programmes automatisés permettent aux entreprises de fournir un support client 24/7, améliorant ainsi l’expérience globale du client et augmentant la satisfaction.

En conclusion, le monde du marketing digital évolue rapidement, et ces techniques secrètes sont en train de changer la donne pour les entreprises. En tirant parti du marketing d’influence, des stories éphémères, du marketing par SMS, du contenu vidéo et des chatbots intelligents, les entreprises peuvent attirer des milliers de clients et se démarquer dans un marché concurrentiel. Restez à l’affût de ces tendances en constante évolution pour rester compétitif et prospérer dans l’ère du marketing numérique moderne.

Pour stimuler la croissance économique et créer des emplois, plusieurs clés sont essentielles. Ces mesures peuvent aider à dynamiser l’économie, favoriser l’investissement et soutenir la création d’emplois durables. Voici quelques-unes des clés pour y parvenir :

1. Investissement dans l’Infrastructure : Le développement et la modernisation des infrastructures, tels que les routes, les ponts, les réseaux de transport, et les technologies de l’information, stimulent l’activité économique. Ces investissements créent des emplois dans le secteur de la construction et renforcent la productivité globale de l’économie.

2. Politique Monétaire Favorable : La banque centrale peut adopter une politique monétaire accommodante en abaissant les taux d’intérêt pour encourager l’emprunt et les investissements des entreprises. Cela favorise la croissance économique et l’expansion des entreprises qui peuvent embaucher davantage.

3. Soutien aux Petites et Moyennes Entreprises (PME) : Les PME jouent un rôle crucial dans la création d’emplois. En les soutenant par des mesures telles que des incitations fiscales, des programmes de formation et des facilités d’accès au financement, on encourage l’entrepreneuriat et la création d’emplois locaux.

4. Encourager l’Innovation et la Recherche : Investir dans la recherche et le développement (R&D) et encourager l’innovation favorise la compétitivité des entreprises et ouvre de nouvelles opportunités commerciales. Les avancées technologiques créent de nouveaux emplois dans les secteurs émergents.

5. Promotion du Commerce International : Le commerce international peut ouvrir de nouveaux marchés aux entreprises et stimuler la croissance économique. Les accords commerciaux favorisent les échanges internationaux et peuvent entraîner la création d’emplois dans les secteurs orientés vers l’exportation.

6. Formation et Éducation : Investir dans la formation et l’éducation de la main-d’œuvre permet d’améliorer les compétences des travailleurs et de répondre aux besoins du marché du travail. Des travailleurs mieux formés peuvent accéder à des emplois de meilleure qualité et contribuer à la productivité des entreprises.

7. Politique Fiscale Appropriée : Une politique fiscale équilibrée peut soutenir la croissance économique en encourageant l’investissement et la consommation. Des réductions d’impôts ciblées ou des incitations fiscales pour les entreprises peuvent favoriser l’embauche de nouveaux employés.

8. Stabilité Politique et Institutionnelle : Un environnement politique et institutionnel stable est essentiel pour créer un climat favorable aux affaires. La confiance des investisseurs et des entrepreneurs est renforcée dans un environnement prévisible et stable, ce qui peut encourager les investissements et la croissance économique.

En mettant en œuvre ces clés de manière cohérente et coordonnée, les gouvernements et les acteurs économiques peuvent stimuler la croissance économique et créer des emplois de manière durable. L’adoption d’une approche globale et inclusive permettra de soutenir l’économie dans son ensemble et d’améliorer la qualité de vie des citoyens.

Le double champion olympique et actuel détenteur du record du monde du décathlon Ashton Eaton se retire à l’âge de 28 ans. Eaton a annoncé la nouvelle sur son compte Twitter. Son palmarès, son charisme et son statut de deuxième décathlonien de l’histoire à franchir les 9000 points ont fait de lui une légende des épreuves combines. L’Américain s’était imposé devant le Français Kevin Mayer lors des JO de Rio.

L’Américain Ashton Eaton, double champion olympique en titre du décathlon, a annoncé mercredi la fin de sa carrière dans un message posté sur Twitter. «â€‰J’ai tout donné pour le décathlon. J’ai fait tout ce que j’ai pu. Merci de m’avoir offert le meilleur moment de ma vie. Je prends ma retraite », a écrit Ashton Eaton sur Twitter.

À 28 ans, Eaton, déjà sacré à Londres en 2012, venait tout juste d’ajouter à Rio en août 2016, une ligne de plus à son prestigieux palmarès, devenant le troisième homme à conserver son titre olympique en décathlon après Bob Mathias (1948, 1952) et Daley Thompson (1980, 1984). Il avait devancé le Français Kevin Mayer.

Champion du monde en 2013 à Moscou et en 2015 à Pékin, Eaton détient également le record du monde de la discipline (9045 points aux Mondiaux de 2015).

En 2015, Ashton Eaton établit le record du monde du décathlon à 9045 points. Une performance hors-normes.

En 2015, Ashton Eaton établit le record du monde du décathlon à 9045 points. Une performance hors-normes. | EPA

Dans le même temps, la femme d’Eaton, la spécialiste de l’heptathlon Brianne Thiesen-Eaton, double médaillée d’argent aux Mondiaux et médaillée de bronze aux JO de Rio, a aussi officialisé sa retraite via son compte Twitter. Elle avait été sacrée championne du monde en salle en 2016.

Kevin Mayer « sous le choc »

La retraite soudaine d’Eaton peut-elle constituer une aubaine pour Kevin Mayer, qui s’était seulement incliné de 59 points à Rio ? Sous le « choc », le Français a en tout cas refusé d’endosser le costume de nouvel homme à battre du décathlon qui lui tend pourtant les bras alors que la saison 2017 sera marquée par les Mondiaux à Londres (5-13 août). 

Le Français Kevin Mayer avait livré un duel dantesque à Ashton Eaton aux JO de Rio.

Le Français Kevin Mayer avait livré un duel dantesque à Ashton Eaton aux JO de Rio. | REUTERS

« Il y aura toujours quelqu’un pour me mettre des bâtons dans les roues. J’aurais aimé faire une dernière compétition avec lui. Il n’y avait plus un énorme gap entre nous, ça aurait pu donner encore de belles courses », a-t-il déclaré à l’AFP.

Mayer a toutefois rendu un hommage appuyé à un athlète qu’il considère comme un « exemple »: « Il a énormément apporté au décathlon et l’a porté plus haut qu’il ne l’était. C’était très inspirant de courir avec lui. » Et le combat féroce livré à Rio a forcément noué des liens particuliers entre les deux hommes.

« C’est très fort ce qu’on a vécu, a expliqué Mayer. On s’est tiré la bourre pendant deux jours, ça a créé une sorte de relation amicale entre nous deux. C’est pour ça que je suis triste qu’il arrête ». Dan O’Brien, champion olympique en 1996 à Atlanta, a lui « félicité » sur Twitter Eaton pour avoir « poursuivi la domination américaine sur le décathlon ». 

Dans un classement récent des devises africaines les plus fortes, le Dinar algérien a fait une impressionnante entrée dans le top 10. Cette reconnaissance témoigne de la stabilité économique croissante de l’Algérie et de la confiance des marchés internationaux envers sa monnaie nationale.

Le Dinar algérien s’est hissé à la cinquième position du classement, se distinguant par sa valeur face à d’autres devises africaines. Cette progression témoigne des efforts continus déployés par le gouvernement algérien pour renforcer son économie et accroître sa compétitivité sur le marché international.

Les raisons derrière cette ascension remarquable sont multiples. Tout d’abord, l’Algérie a maintenu une politique monétaire responsable, ce qui a permis de contenir l’inflation et de stabiliser la valeur de sa monnaie. De plus, le pays a bénéficié d’une augmentation des investissements étrangers, contribuant ainsi à renforcer le Dinar algérien.

En outre, les exportations algériennes, notamment dans le secteur de l’énergie, ont connu une augmentation significative ces dernières années. Cette hausse des exportations a généré des revenus en devises étrangères, renforçant ainsi les réserves en devises du pays et consolidant la position du Dinar sur le marché international.

La montée en puissance du Dinar algérien offre des opportunités intéressantes pour les acteurs économiques du pays. Une monnaie forte favorise les importations à moindre coût et renforce le pouvoir d’achat des citoyens. Cependant, cela pourrait également poser des défis, notamment en rendant les exportations plus coûteuses pour les entreprises locales.

En conclusion, l’ascension du Dinar algérien dans le top 10 des devises africaines les plus fortes est une nouvelle encourageante pour l’économie nationale. Cela témoigne des progrès réalisés par l’Algérie dans sa quête de stabilité économique et renforce sa position sur la scène internationale. Cependant, les autorités économiques devront rester vigilantes pour maintenir cette croissance et trouver un équilibre entre les avantages et les défis associés à une monnaie forte.

Chers lecteurs, aujourd’hui, nous nous penchons sur les défis cruciaux que pose la mondialisation et son influence sur l’économie mondiale. Alors que nous traversons une période d’interconnectivité sans précédent, les économies du monde entier sont confrontées à des changements et à des opportunités significatives.

La mondialisation a ouvert des portes à l’échange international de biens, de services et d’idées, mais elle a également créé des défis complexes pour de nombreux pays. L’un des aspects les plus saillants est la concurrence accrue sur le marché mondial. Les entreprises doivent désormais rivaliser avec des acteurs internationaux, ce qui peut entraîner des pressions sur les prix et les marges bénéficiaires. Cependant, cela peut également stimuler l’innovation et la recherche de l’excellence pour rester compétitif.

Un autre défi majeur auquel l’économie mondiale est confrontée est la dépendance accrue aux chaînes d’approvisionnement mondiales. Alors que les pays dépendent de plus en plus des importations pour répondre à leurs besoins, les perturbations dans une région peuvent avoir des répercussions sur l’ensemble de la chaîne. La pandémie de Covid-19 a mis en évidence cette vulnérabilité, car de nombreux pays ont dû faire face à des pénuries de biens essentiels.

En parlant de pandémie, la Covid-19 a également eu un impact majeur sur le commerce mondial. Les restrictions de voyage, les fermetures de frontières et les confinements ont entraîné une diminution significative des échanges internationaux. Cela a mis en évidence la nécessité pour les pays de diversifier leurs sources d’approvisionnement et de renforcer leur résilience économique.

Toutefois, la mondialisation offre également des opportunités inestimables pour les économies émergentes. Elle leur permet d’attirer des investissements étrangers, d’accéder à de nouveaux marchés et de développer leurs secteurs d’exportation. L’intégration à l’économie mondiale peut être un moteur essentiel de la croissance économique pour ces nations.

En conclusion, la mondialisation représente à la fois des défis et des opportunités pour l’économie mondiale. Alors que la concurrence et la dépendance aux chaînes d’approvisionnement constituent des défis importants, la diversification et l’innovation peuvent aider à surmonter ces obstacles. En comprenant et en adaptant les tendances de la mondialisation, les pays peuvent bâtir une économie résiliente et prospère pour l’avenir.

Lio rend hommage aux femmes qui ont témoigné contre Bertrand Cantat sur Netflix

Cette chanson traite en effet de la tragédie qui a touché Lio il y a six mois : le décès de son fils Diego, à qui elle a livré un hommage bouleversant cette semaine sur le plateau de Yann Barthès  dans Quotidien sur TMC. Ce deuil a d’ailleurs coïncidé avec la sortie sur Netflix de la mini-série documentaire  De rockstar à tueur : le cas Cantat . Dans une interview pour Konbini , la chanteuse reconnaît qu’elle était admirative des femmes qui ont témoigné, mais que cela a été très dur pour elle : " C’était formidable, mais dans ma vie personnelle, c’est arrivé à un moment terrible, donc j’étais en colère contre l’univers ". La chanteuse ajoute cependant que  "les gens ne savent pas le courage qu’il a fallu à ces femmes et à quel point Bertrand Cantat est protégé " et affirme que " les lois de protection des femmes et des enfants ne sont pas appliquées ". Puis, en larmes, elle confie avoir réalisé que son combat a " touché beaucoup de jeunes, et ils me l’ont rendu à 1000%. Beaucoup de femmes, mais aussi beaucoup d’hommes. Et je remercie tout le monde du fond du coeur ".